Le plus grand écrivain serbe de la seconde moitié du XVIIIe et la première moitié du XIXe siècles, était aussi traducteur, mais aussi un des premiers Serbes qui ait écrit sur les problèmes de la traduction.
Écrivaine et traductrice, elle livre, dans la préface de sa traduction de l’œuvre de Johann Wolfgang von Goethe, Les souffrances du jeune Werther (Stradanja mladog Vertera, 1948), ses réflexions sur la traduction littéraire :
Poète, écrivain, traducteur, il a beaucoup contribué au développement de la théorie de la traduction. Dans son article « Homère le Maître » (Omir učitelj) publié dans la revue Les Annales serbes (Srpski letopis, 1868), Laza Kostić donne ses idées concernant la traduction littéraire.
Professeur d’université, académicien et traducteur, dans son article « Les éternels Hellènes » (Večni Heleni) publié dans le quotidien Politika (1966), il parle de l’éthique et de la culture des Hellènes, ainsi que de sa traduction de l’Iliade (Ilijada, 1965) et de l’Odyssée (Odiseja, 1966) :
Essayiste et traducteur, dans son article « La traduction de la poésie » (Prevođenje poezije, 1997) il défend la traduction de la poésie qui est, selon un grand nombre de théoriciens, intraduisible et absurde :
Professeur, essayiste et traducteur, Radivoje Konstantinović (en cyrillique: Радивоје Константиновић) évoque, dans son article intitulé « On ne peut pas éternellement se justifier par l’indigence »
Écrivain, essayiste et traducteur, dans la postface (postface du traducteur = Pogovor prevodioca) de sa traduction du chef-d’œuvre de François Villon Le grand testament (Veliko zaveštanje, 1960), nous parle de la critique française
Dans la préface à sa traduction du roman de Fénelon Les Aventures de Télémaque, fils d’Ulysse (Priključenija Telemaka, sina Uliseva, 1814) il parle, en outre, des mots d’emprunts qui existent dans les langues les plus développées, comme le grec, le latin, l’allemand.
Écrivain, philologue et réformateur de la langue serbe, il fut aussi traducteur.
Dans sa préface à sa traduction du Nouveau Testament (Novi zavjet, 1847), Vuk Karadžić livre ses idées concernant la traduction.